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dimanche 2 février 2020

Ma chronique sur "Le roi de plaquage"






 Titre du livre : Le roi du plaquage
Nom de l'auteur : Marc MORITZ
Date de parution : 27 janvier 2017
 Nombre de pages :  210 pages
 Nom de l'éditeur : Editions Milady Romance 
 Genre : Romance contemporaine








Synopsis


Romain MEVASTA est un joueur de rugby comme on n'en fait plus. C'est aussi un homme comme on n'en fait plus. Les calendriers pour minets, très peu pour lui! Mais sa rencontre avec une photographe va tout bouleverser. Quand la timide Margot arrive pour prendre la photo annuelle du club, certains joueurs se montrent un peu pressants avec elle, et Romain prend sa défense en faisant parler les poings. C'est le début des ennuis... et d'une histoire d'amour inattendue entre lui et Margot : le bagarreur au cœur tendre va devoir prouver qu'il est capable de se battre pour elle - mais pas seulement!

Je donne mon avis


Comme je vous l'ai dit dans mon précédent article, je participe au mois de la romance. Par contre, j'ai terminer Will you play? en avance et je voulais faire un trait d'union avec le mois de la romance (ce livre est hors challenge). J'ai trouvé aussi un moyen de faire descendre ma PAL puisqu'il en faisait partie depuis un moment. De plus, le récit se déroule dans le monde du rugby professionnel, un monde que je connais grâce à mon père qui jouait lui-même en tant qu'amateur mais en bon passionné monopoliser la télévision dès que le Tournoi des six nations s’annonçait. Alors, certes, j'ai reconnu quelques clichés décrivant des mecs hyper baraqués avec un taux de testostérone plus élevé que la moyenne de la population masculine française ainsi que leur penchant à régler leur compte avec les poings mais aussi l'esprit d'équipe et l'amitié qui restent essentiel malgré tout.

L'auteur décrit bien la pression des médias, des réseaux sociaux, les fans, l'importance de l'image et c'est ce que j'ai aimé. Romain, le protagoniste principal, est l'un des joueurs que je vous ai décris plus haut (baraqués et les poings levés dés qu'on lui cherche querelle... ou pas) mais autre chose m'a touché c'est le manque de confiance en lui et une part de timidité malgré les kilos de muscles.  Je ne sais pas si c'est une volonté de l'écrivain mais Romain m'a semblait comme un gros nounous, une fois apprivoisé, il est doux comme un agneau (avec cent dix kilos de muscles). L'auteur a écrit son roman que du point de vue de Romain, c'est ce qui change. 

Pour conclure, j'ai passé un bon moment de lecture, les chapitres sont courts, le livre est courts, Romain et Margot forment un couple attachant. Une lecture rafraîchissante et qui m'a remis le pied à l'étrier pour le challenge de Ludo. 

2 commentaires: